http://www.ellenepleurepasellechante.be/index.php?page=journal&PHPSESSID=a0053807662adeeea523d81c08a1420f
Mardi 06 avril 2010, 9h30.
Passablement stressé, je sonne à la porte. Les présentations faites, on attend le dernier arrivant qui apparait finalement. Mon stage peut enfin commencer après l'avoir tant attendu. On commence d'abord par regarder tous les plans filmés mis les uns à la suite des autres chronologiquement (aussi nommé le "bout à bout" ou "bab" pour les intimes). Quelques trois heures plus tard,le film se termine et l'heure de la pause se profile à l'horizon. Le montage n'est que partie remise. Au début, je ne faisais qu'observer, me laissant le temps de m'adapter à ce travail inconnu jusqu'alors, de m'imprégner de l'ambiance qui règne, de prendre confiance petit à petit en moi. Mais très vite, j'apprends ce qu'il faut observer dans l'image, ce qui est important, ce qui ne l'est pas,... et au fur et à mesure, je donne mon avis, je propose une solution, bonne ou mauvaise, j'y vais de mon petit commentaire. On me surnomme même script du montage (celui qui remarque tout le petits défauts dans les raccords). Entre deux anecdotes de tournage, on visionne les rushs, on coupe, on transforme, on ajoute, on supprime, on discute sur les séquences,... en somme, on dupe les futurs spectateurs tant sur l'image que sur le son grâce à la magie du montage. Après une semaine de travail, on termine ce qu'on appelle un 'ours", autrement dit un premier montage mal dégrossi (même si le nôtre est bien peigné). Et le lendemain, première vision devant des gens extérieurs pour récolter les avis en vue de peaufiner la suite. Mais l'aventure se termine bientôt pour moi.
Mardi 06 avril 2010, 9h30.
Passablement stressé, je sonne à la porte. Les présentations faites, on attend le dernier arrivant qui apparait finalement. Mon stage peut enfin commencer après l'avoir tant attendu. On commence d'abord par regarder tous les plans filmés mis les uns à la suite des autres chronologiquement (aussi nommé le "bout à bout" ou "bab" pour les intimes). Quelques trois heures plus tard,le film se termine et l'heure de la pause se profile à l'horizon. Le montage n'est que partie remise. Au début, je ne faisais qu'observer, me laissant le temps de m'adapter à ce travail inconnu jusqu'alors, de m'imprégner de l'ambiance qui règne, de prendre confiance petit à petit en moi. Mais très vite, j'apprends ce qu'il faut observer dans l'image, ce qui est important, ce qui ne l'est pas,... et au fur et à mesure, je donne mon avis, je propose une solution, bonne ou mauvaise, j'y vais de mon petit commentaire. On me surnomme même script du montage (celui qui remarque tout le petits défauts dans les raccords). Entre deux anecdotes de tournage, on visionne les rushs, on coupe, on transforme, on ajoute, on supprime, on discute sur les séquences,... en somme, on dupe les futurs spectateurs tant sur l'image que sur le son grâce à la magie du montage. Après une semaine de travail, on termine ce qu'on appelle un 'ours", autrement dit un premier montage mal dégrossi (même si le nôtre est bien peigné). Et le lendemain, première vision devant des gens extérieurs pour récolter les avis en vue de peaufiner la suite. Mais l'aventure se termine bientôt pour moi.
Stylo-bille
2010
4x (21x14,9cm)
Voilà, l'aventure s'arrête ici pour moi. Ce fut une expérience inoubliable et enrichissante, pleine d'apprentissage. Je remercie tout ceux qui m'ont permis de faire vivre ce moment et plus particulièrement les deux Philippe(s), mes comparses de stage.
Voilà, l'aventure s'arrête ici pour moi. Ce fut une expérience inoubliable et enrichissante, pleine d'apprentissage. Je remercie tout ceux qui m'ont permis de faire vivre ce moment et plus particulièrement les deux Philippe(s), mes comparses de stage.